Sentier des Appalaches - Parc de la Gaspésie
- du 18 au 23 juillet 2006
Le 19 juillet 2005
Pic du Brûlé
De
Camping le Saule (820 m)
à
Camping Lac-Cascapédia (500 m)
Une
magnifique journée commence. Dès les premiers kilomètres, nous
passons près de plusieurs petits lacs enfoncés dans la forêt. Je
pense réellement voir des biches ou des orignaux car nous voyons en
permanence les traces impressionnantes de ces animaux. Il y a aussi
beaucoup de crottin. Malheureusement, ce n’est pas encore
aujourd’hui qu’on verra la queue d’une biche. Le sentier emprunte
une partie des chemins de rando d’hiver. Celui-ci coupe à travers
les lacs, passe sur le lit des ruisseaux. Parfois, il descend assez
raide et je me dis qu’avec des skis, ce ne doit pas être très
facile.
Nous
continuons notre rando et atteignons le Pic du Brûlé d’où la vue est
splendide. Nous voyons des falaises proche du campement de la
veille, perdues dans l’immense forêt. Au loin, on aperçoit encore le
bleu de la mer et quelques villages au creux des collines de sapins.
Il n’est que 11h15 alors on décide de descendre vers le lac Gouache
pour se baigner et manger. Cela nous rallongera seulement d’une
heure mais la journée n’est pas longue.
L’eau du lac est chaude et on n’a aucun mal à rentre dedans et à
nager. Solenne a peur de toucher des poissons, ou plutôt que les
poissons la frôlent ! Mdr !!!
Nous
dînons face au lac, à l’ombre et dans l’herbe. C’est très plaisant
et Solenne photographie l’accouplement des libellules bleues.
Nous
remontons ensuite au Pic du Brûlé pour faire la crête vers le Mont
Ernest-Ménard. Les points de vues sur la mer sont très fréquents. Ça
vaut vraiment le coup. Nous rencontrons pas mal de gens cette fois
car le camping du lac Cascapédia n’est pas loin et il est accessible
en voiture. Nous y dormons d’ailleurs ce soir, sur un emplacement
immense avec des gravillons sur lesquels nous devons dormir. Nos
petits matelas n’adoucissent que le minimum. Mais Solenne préfère ça
à la plateforme en vois de la veille qui était trop dure.
Au lac Cascapédia, nous retrouvons le ravitaillement qu’on avait
laissé deux jours auparavant. On refait ainsi le plein de nos sacs
pour les deux prochains jours. Le lac est grandiose, les gens font
du canot mais notre emplacement de camping n’offre pas la vue sur le
lac. Dommage.
De |
Camping le Saule (820 m)
|
à | Camping Lac-Cascapédia (500 m) |
Une magnifique journée commence. Dès les premiers kilomètres, nous passons près de plusieurs petits lacs enfoncés dans la forêt. Je pense réellement voir des biches ou des orignaux car nous voyons en permanence les traces impressionnantes de ces animaux. Il y a aussi beaucoup de crottin. Malheureusement, ce n’est pas encore aujourd’hui qu’on verra la queue d’une biche. Le sentier emprunte une partie des chemins de rando d’hiver. Celui-ci coupe à travers les lacs, passe sur le lit des ruisseaux. Parfois, il descend assez raide et je me dis qu’avec des skis, ce ne doit pas être très facile.
Nous continuons notre rando et atteignons le Pic du Brûlé d’où la vue est splendide. Nous voyons des falaises proche du campement de la veille, perdues dans l’immense forêt. Au loin, on aperçoit encore le bleu de la mer et quelques villages au creux des collines de sapins. Il n’est que 11h15 alors on décide de descendre vers le lac Gouache pour se baigner et manger. Cela nous rallongera seulement d’une heure mais la journée n’est pas longue.
L’eau du lac est chaude et on n’a aucun mal à rentre dedans et à nager. Solenne a peur de toucher des poissons, ou plutôt que les poissons la frôlent ! Mdr !!!
Nous dînons face au lac, à l’ombre et dans l’herbe. C’est très plaisant et Solenne photographie l’accouplement des libellules bleues.
Nous remontons ensuite au Pic du Brûlé pour faire la crête vers le Mont Ernest-Ménard. Les points de vues sur la mer sont très fréquents. Ça vaut vraiment le coup. Nous rencontrons pas mal de gens cette fois car le camping du lac Cascapédia n’est pas loin et il est accessible en voiture. Nous y dormons d’ailleurs ce soir, sur un emplacement immense avec des gravillons sur lesquels nous devons dormir. Nos petits matelas n’adoucissent que le minimum. Mais Solenne préfère ça à la plateforme en vois de la veille qui était trop dure.
Au lac Cascapédia, nous retrouvons le ravitaillement qu’on avait laissé deux jours auparavant. On refait ainsi le plein de nos sacs pour les deux prochains jours. Le lac est grandiose, les gens font du canot mais notre emplacement de camping n’offre pas la vue sur le lac. Dommage.